Enfin nous y voilà... Les voici les fameuses chutes qui font de l’ombre à leurs (toutes) petites soeurs du Niagara...
Dans un premier temps, nous nous attaquons à la face brésilienne des chutes d’Iguaçu.
Côté samba de la chose, la visite est haute en couleur, époustouflante... Des chutes d’eau à perte de vue. Nous en avons une vue panoramique, bien qu’il soit impossible de prendre une photo de l’ensemble du fait de l’étendue de ces dites chutes.
Dans un premier temps, nous nous attaquons à la face brésilienne des chutes d’Iguaçu.
Côté samba de la chose, la visite est haute en couleur, époustouflante... Des chutes d’eau à perte de vue. Nous en avons une vue panoramique, bien qu’il soit impossible de prendre une photo de l’ensemble du fait de l’étendue de ces dites chutes.
Et dès le lendemain, pour ne pas faire de jalous, nous voici en Argentine pour admirer les chutes d’Iguazu.
Côté Tango, la visite est plus sensuelle, plus tactile aussi, corps contre corps.
Nous nous approchons au plus près des différentes chutes, parfois au point d’en revenir ruisselant. Le spectacle est absolument grandiose...
Côté Tango, la visite est plus sensuelle, plus tactile aussi, corps contre corps.
Nous nous approchons au plus près des différentes chutes, parfois au point d’en revenir ruisselant. Le spectacle est absolument grandiose...
Meumeu, dans ton blog tu m’avais fortement conseillé de prévoir un petit tour par Iguazu dans mon plan de vie : voilà qui est fait...
Vous noterez la subtile nuance entre l’orthographe des chutes des deux côtés de la frontière.
Les incultes argentins ne connaissant pas le « Ç », ils le remplacent vulgairement par un « Z » (boooouuuu). Les un peu moins sauvages mais néanmoins rustres brésiliens connaissent eux le « Ç », mais pour le reste c’est pas encore ça. Mais la palme revient aux paraguayens, dont la frontière se trouve non loin des chutes, qui proposent encore une orthographe différente mais toujours erronée en parlant des chutes d’ « Yguazu ». Que d’ignorance dans ce bas monde... Tout le monde sait (tout du moins dans un pays civilisé comme la France) que ces chutes sont celles d’Higouassou...
La parenthèse linguistique est close.
Vous noterez la subtile nuance entre l’orthographe des chutes des deux côtés de la frontière.
Les incultes argentins ne connaissant pas le « Ç », ils le remplacent vulgairement par un « Z » (boooouuuu). Les un peu moins sauvages mais néanmoins rustres brésiliens connaissent eux le « Ç », mais pour le reste c’est pas encore ça. Mais la palme revient aux paraguayens, dont la frontière se trouve non loin des chutes, qui proposent encore une orthographe différente mais toujours erronée en parlant des chutes d’ « Yguazu ». Que d’ignorance dans ce bas monde... Tout le monde sait (tout du moins dans un pays civilisé comme la France) que ces chutes sont celles d’Higouassou...
La parenthèse linguistique est close.
A noter que nous avons fait la visite au pas de course. La faute à la pluie tombée durant toute la matinée qui nous poussera à reporter la visite à l’après-midi.
Résultat, nous tentons d’organiser notre visite en fonction des horaires limites de visite des différentes parties du parc. Et bien évidemment, ça foire...
Nous ratons le dernier train pour nous rendre aux « Gorges du diable » (une des chutes iguazesques parmi les plus impressionnantes). Et nous ça nous aurait bien dit d’aller titiller le gosier de Lucifer...
Les gardiens nous expliquent gentiment qu’il ne nous reste plus qu’à revenir le lendemain matin si nous voulons les approcher... Légère frustration de notre côté : il nous reste 2 heures avant la fermeture du parc, et pas possible de nous rendre à 2 kilomètres d’ici !!! Sauf que...
Sauf que, dans la famille Angebault, on a un savoir-faire. Un savoir-faire qui se transmet de père en fils de génération en génération (pourvu qu’on ait que des filles...): celui d’outrepasser les interdits. Et là justement y a un chemin « interdit aux visiteurs » qui longe les voies...
Amélie, ça te dit de te dégourdir les pattes ?
Bref, nous voilà partis longeant les rails. Les gardiens ont bien essayés de nous faire rebrousser chemin, mais parfois, en bon touristes que nous sommes, on ne comprend pas ce que l’on nous dit...
Et on les a vu, essouflés certes, mais on les a vu quand même les cordes vocales de Satan. Et je peux vous dire qu’il en fait du bruit, mais pas pour dire grand chose... Je suis arrivée quelques minutes après Sylvain, ,mais avant la fermeture ! Et vous savez, il y a du bon à être « en retard », contrairement à tous les touristes de la journée, nous avons vu le gorges avec très peu de monde !
Pour compléter la trilogie du « Seigneur des chutes d’eau » (oh le vilain jeux de mot... mais je peux pas m’en empécher...), Nous passons côté Paraguay pour visiter l’ex plus grand barrage du monde : le barrage Itaipu.
En gros, c’est un gros machin en béton, certes moins esthétique que les chutes d’Igua?u, mais qui est impressionnant lorsque l’on sait que sa production permet de satisfaire 95% des besoins en électricité du Paraguay, et 25% de ceux du Brésil (le barrage est une propriété binationale).
Bon d’accord pour le construire il a fallut submerger pas mal d’habitations, de vestiges archéologiques, de forêts servant d’habitat à de nombreuses espèces... et même des chutes plus impressionnantes que celles d’Igua?u...
Et pour ceux que ça intéresse : à titre de comparaison avec le barrage chinois des « Trois Gorges » (non, pas celles du diable), il possède 20 turbines de 700 000 MW chacune, quand le chinois en possède 26. Mais... si le potentiel de production du barrage chinois est plus grand, la production annuelle d’éléctricité est plus importante à Itaipu. Pourquoi (vous demandez vous... ou pas) ? Parce que il y a plus d’eau qui passe dans le barrage d’Itaipu tout au long de l’année. Le débit de l’eau aux Trois Gorges subit des variations saisonnières importantes, donc la production est (relativement) faible une partie de l’année, et en cumulé... c’est Itaipu qui l’emporte (enfin, selon la propagande Paraguayenne). La parenthèse énergétique est éteinte.
Résultat, nous tentons d’organiser notre visite en fonction des horaires limites de visite des différentes parties du parc. Et bien évidemment, ça foire...
Nous ratons le dernier train pour nous rendre aux « Gorges du diable » (une des chutes iguazesques parmi les plus impressionnantes). Et nous ça nous aurait bien dit d’aller titiller le gosier de Lucifer...
Les gardiens nous expliquent gentiment qu’il ne nous reste plus qu’à revenir le lendemain matin si nous voulons les approcher... Légère frustration de notre côté : il nous reste 2 heures avant la fermeture du parc, et pas possible de nous rendre à 2 kilomètres d’ici !!! Sauf que...
Sauf que, dans la famille Angebault, on a un savoir-faire. Un savoir-faire qui se transmet de père en fils de génération en génération (pourvu qu’on ait que des filles...): celui d’outrepasser les interdits. Et là justement y a un chemin « interdit aux visiteurs » qui longe les voies...
Amélie, ça te dit de te dégourdir les pattes ?
Bref, nous voilà partis longeant les rails. Les gardiens ont bien essayés de nous faire rebrousser chemin, mais parfois, en bon touristes que nous sommes, on ne comprend pas ce que l’on nous dit...
Et on les a vu, essouflés certes, mais on les a vu quand même les cordes vocales de Satan. Et je peux vous dire qu’il en fait du bruit, mais pas pour dire grand chose... Je suis arrivée quelques minutes après Sylvain, ,mais avant la fermeture ! Et vous savez, il y a du bon à être « en retard », contrairement à tous les touristes de la journée, nous avons vu le gorges avec très peu de monde !
Pour compléter la trilogie du « Seigneur des chutes d’eau » (oh le vilain jeux de mot... mais je peux pas m’en empécher...), Nous passons côté Paraguay pour visiter l’ex plus grand barrage du monde : le barrage Itaipu.
En gros, c’est un gros machin en béton, certes moins esthétique que les chutes d’Igua?u, mais qui est impressionnant lorsque l’on sait que sa production permet de satisfaire 95% des besoins en électricité du Paraguay, et 25% de ceux du Brésil (le barrage est une propriété binationale).
Bon d’accord pour le construire il a fallut submerger pas mal d’habitations, de vestiges archéologiques, de forêts servant d’habitat à de nombreuses espèces... et même des chutes plus impressionnantes que celles d’Igua?u...
Et pour ceux que ça intéresse : à titre de comparaison avec le barrage chinois des « Trois Gorges » (non, pas celles du diable), il possède 20 turbines de 700 000 MW chacune, quand le chinois en possède 26. Mais... si le potentiel de production du barrage chinois est plus grand, la production annuelle d’éléctricité est plus importante à Itaipu. Pourquoi (vous demandez vous... ou pas) ? Parce que il y a plus d’eau qui passe dans le barrage d’Itaipu tout au long de l’année. Le débit de l’eau aux Trois Gorges subit des variations saisonnières importantes, donc la production est (relativement) faible une partie de l’année, et en cumulé... c’est Itaipu qui l’emporte (enfin, selon la propagande Paraguayenne). La parenthèse énergétique est éteinte.
1 commentaire:
Je comprends pas que ça ait pas donné envie à qernouille de piquer une tête! ;o)
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